(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({ google_ad_client: "pub-1793763997847718", enable_page_level_ads: true }); (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});

Infos Val Adour

  Informations Lourdes et Grand Tarbes  Informations Lourdes et Pays de Lourdes  Informations Bagnères de Bigorre  Informations Argelès-Gazost Vallées des Gaves  Informations Pays de Lannemezan  Information Pays du Val Adour  Informations Hautes-Pyrénées     
         

Un point suffit au bonheur du jour

dimanche 28 février 2010
Extraits du match Lourdes-Saint-Jean-de-Luz : 20-19

F.C. Lourdes bat Saint-Jean de Luz Olympique 20-19. M-T : 11-10.
Arbitrage de M. Gabaldon (Languedoc).

Pour Lourdes : 1 E de Soucaze (20e) 2 D (20’’ et 54e), 3 P (36e, 46e, 58e) de Pouey

Pour Saint-Jean : 1 E de Sigaud (16e), 1 T, 4 P (7e, 57e, 61e et 72e) d’Elizondo.

FCL : Caussade ; Grenon, Maile (Latapie 50e), Péna (Schneider 64e), Soucaze ; (o) Pouey (m) Paulès ; Taulanga, Troader, Arino (Irigoyen 70e) ; Pettigiani (Maisonnabe 57e), Labadie (Pays 65e) ; Hearns (Da Costa 75e), Cazalot (cap), Simon (Hiva 75e)

Saint-Jean : Elizondo ; Sigaud (Labrouche 54e), Urruty, Niquet (Lecorff 62e), Inda (Raufaste 70e) ; (o) B. Ibarburu (m) Roige ; Elgohen, Moges, Lièvremont (Rennie 54e), Saint-Jean (cap) (Vivensang 59e), Pardon ; Benazet (Leizagoyen 70e), Didillon (Izquierdo 59e), S. Inarburu (Gallego 54e).

Dominer n’est pas gagner. En posant sa suprématie de façon quasi permanente les Lourdais ont néanmoins connu quelques frayeurs durant les dernières minutes. D’un succès qui se serait voulu plus ample ne serait-ce qu’avec un écart plus substantiel, ils doivent se contenter d’une victoire avec un seul point d’écart. Sans parler du bonus défensif qui au solde final pourrait compter ! Pas de quoi pavoiser ! Pourtant, Mathieu Pouey, ouvre le compteur dès la vingtième seconde. Coup d’envoi, récupération lourdaise et drop de l’ouvreur lourdais. Saint –Jean égalise sept minutes plus tard pour une faute au sol grâce à Elizondo qui inscrit la pénalité. Les avants du FCL pilonnent les buts adverses, sans résultat. Il faut attendre la 16ème minute pour assister à la première incursion luzienne en territoire lourdais. Réalistes les Basques qui après une combinaison Elgohen-Roige voient l’ailier Sigaud marquer en coin.

Lourdes réagit immédiatement puisque quatre minutes plus tard, un judicieux coup de pied de déplacement de Pouey trouve Soucaze à sa conclusion. Le FCL domine et termine très fort cette première mi-temps. Après avoir touché la transversale sur pénalité tentée des 53 m. face, les spectateurs restent médusés quant à la décision sur deux occasions possibles, dans les cordes du buteur’’ rouge et bleu’’ et qui ne seront pas tentées alors que le score plaide en faveur des visiteurs. Fort heureusement, avant l’heure des citrons, Taulanga ouvre une brèche, amenant la faute luzienne. Des 35 mètres, Mathieu Pouey permet aux siens de virer en tête à la pause (11-10)

Suspense en fin de partie

Saint-Jean de Luz, bien pâle durant les quarante premières minutes, semble vouloir mettre du rythme dès le début de la reprise. Le pack basque, châtié, ( 46e) ne peut éviter la faute réparée des 22m. gauche par Pouey. Qui y va de son second drop (54e), bien calé derrière sa mêlée conquérante. Pour un placage jugé ‘’haut’’ Elizondo grignote trois points. Hors-jeu luzien aux 35 m. face, placage à retardement d’un Lourdais, les buteurs continuent leur match dans le match (20-16). Chez les locaux, la peur s’instaure à la 72e car Saint-Jean revient à un point suite à cette nouvelle conversion d’Elizondo mettant à profit la faute du plaqueur lourdais. Ensuite, tout va très vite ; le pack de Cazalot met au supplice son rival qui bénéficie de la pénalité. Contestation…lourdaise, et coup de pied retourné. Des 53 mètres, Elizondo échoue de peu, de même qu’il rate le drop (82e) de la dernière chance. Les Basques tentent leur va-tout de façon désordonnée. Ce qui permet aux Bigourdans de récupérer le ballon et la direction du jeu. Pour taper en touche et regagner les vestiaires avec une victoire besogneuse mais méritée.

Michel Corsini